Publié le 8 janvier 2012 sur le site Critique de la valeur-dissociation. Repenser une théorie critique du capitalisme, l’article intitulé Quelques bonnes raisons pour se libérer du travail est le texte d’une conférence donnée par Anselm Jappe à Bayonne dans le cadre du Forum Social du Pays basque en janvier 2005.
L’auteur a écrit de nombreux ouvrages :
- La critique du fétichisme de la marchandise chez Marx et ses développements chez Adorno et Lukacs (thèse de doctorat)
- Guy Debord. Essai (Denoël, 2001).
- Les Aventures de la marchandise. Pour une nouvelle critique de la valeur (Denoël, 2003 ; rééd. La Découverte, 2017).
- Les Habits neufs de l’empire. Remarques du Hardt, Negri et Ruffin co-écrit avec R. Kurz (Lignes, 2004).
- L’avant-garde inacceptable – réflexions sur Guy Debord (Éditions lignes-Léo Sheer, 2004).
- Crédit à mort (Lignes, 2011).
- Après l’économie de marché, une controverse avec Bernard Friot, (Atelier de création libertaire, 2014).
- Pour en finir avec l’économie. Décroissance et critique de la valeur avec Serge Latouche (Libre et Solidaire, 2015).
- La société autophage : Capitalisme, démesure et autodestruction (La Découverte, 2017).
Il est aussi le préfacier entre autres de l’ouvrage d’Alastair Hemmens, Ne travaillez jamais ! La critique du travail en France de Charles Fourier à Guy Debord (Crise & Critique, 2019), que je vous ai signalé début janvier dernier, ou de La Civilisation et le travail (Le passager clandestin, 2014) qui réunit deux conférences de l’attachant William Morris.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Jean Stouff (27 février 2020). Quelques bonnes raisons pour se libérer du travail par Anselm Jappe et autres écrits d’icelui. Biblioweb. Consulté le 16 janvier 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/lzlk
Bonsoir,
Merci d’avoir cité la publication de Folgorite sur votre blog.
Cordialement,
Pascal Dupuy
De rien. L’ouvrage me semble intéressant. Et comme c’est sur des thématiques (anarchie, chants révolutionnaires) auxquelles j’ai consacré quelques chroniques, il me paraît naturel de le signaler. Comme disait quelqu’un (un anarchiste à sa manière…), ne laissons pas la lumière sous le boisseau.